On nous a assez rabâché que le conflit algérien était une guerre. Et dans ce cas, la faute des terroristes est de croire que les morts doivent répondre aux morts. Or, en un conflit fratricide, les morts ne se compensent pas, elles s’additionnent.
EHPAD, la mise au point.
le bonheur existe aussi en EHPAD. Plaisir de vivre et plaisir d’échanger, plaisir de partager avec autrui, avec d’autres personnes âgées ou avec du personnel attentif, avec de la famille, des visiteurs ou des intervenants extérieurs. Plaisir de partager le repas. Plaisir de ne pas être seul.
EHPAD, halte aux idées reçues
En résumé, dans les pays occidentaux, le contexte historique, les conditions de vie et de travail, les évolutions sociales ont entraîné peu à peu l’apparition durable de personnes âgées dépendantes, de plus en plus nombreuses, et par là même, grâce à la prospérité, de structures d’accueil spécialisées.
Journal des Libertés n°16 Printemps 2022
La (courte) campagne qui nous est offerte en vue des présidentielles laisse la plupart d’entre nous songeurs, voire déçus. Nous regrettons plus particulièrement l’absence d’un débat sérieux: tous les sujets abordés le sont à travers des slogans.
Ces chiffres qui ne reflètent pas la réalité
la France n’est pas la seule à « optimiser » ses chiffres, ce n’est pas une raison pour ne pas dire la vérité aux Français, car un jour la réalité nous rattrapera et nos gouvernants déplorerons une nouvelle perte de confiance de ses citoyens.
Les va-t-en guerre ont réussi leur coup.
On entend dans les médias que les Européens, les Français en particulier, vont subir les conséquences de la guerre en Ukraine. Ce n’est pas exact. Ils vont subir les conséquences des décisions prises par leurs gouvernants suite à la guerre en Ukraine. Ce sont les gens qui paient la facture des fautes des politiciens.
Au final le totalitarisme
le rôle de la Loi est « d’empêcher l’Injustice de régner ». Quand le gouvernement s’est mêlé de médecine et a porté atteinte à nos Droits naturels, dont nos libertés, au prétexte de la COVID, il a perverti la Loi. Cette « odieuse perversion de la Loi est une cause perpétuelle de haine, de discorde, pouvant aller jusqu’à la désorganisation sociale »
COVID. Après l’emmerdeur l’enfumeur
Au départ le vaccin a été vendu par la propagande comme empêchant la maladie. Puis cela a été piteusement revu à la baisse avec un « protège les autres ». Pour terminer par un tristounet « prévient les formes graves ». Castex s’accroche à la « moindre gravité grâce au vaccin » comme le naufragé à sa planche. Si cette assertion est démentie par les faits tout s’effondre.
Foncer dans le mur et accélérer (3)
Il faut être naïf pour croire que la coercition sociale rebute l’État. S’il l’avait en horreur, il n’envisagerait même pas de l’appliquer, par principe. Elle ne dépend que de lui. La coercition sociale lui sied. Elle lui sert à contrôler indéfiniment les populations au prétexte d’une épidémie, qu’il déclare grave et pérenne.
Foncer dans le mur et accélérer. 2
Les non vaccinés ne sont que des boucs émissaires. Il s’agit de les culpabiliser en les rendant responsables de toute la misère du monde. e n’est donc pas la contamination qu’il faut éviter de manière systématique. C’est la maladie et l’aggravation. D’où l’importance d’une prévention ciblée, incluant la vaccination, et d’un traitement précoce.
Foncer dans le mur et accélérer 1
Le problème n’est pas la COVID, le problème est que nos services hospitaliers sont à genoux depuis des années. Il n’est pas rationnel de demander à des gens qui ont plongé le pays dans la ruine de l’en sortir.
La Voix de Bastiat n°6
Quand la loi et la Force retiennent un homme dans la Justice, elles ne lui imposent rien qu’une pure négation. Elles ne lui imposent que l’abstention de nuire. Elles n’attentent ni à sa Personnalité, ni à sa Liberté, ni à sa Propriété. Seulement elles sauvegardent la Personnalité, la Liberté et la Propriété d’autrui.
Totalitarisme en marche
Nous assistons à une formidable régression des libertés en France, depuis que le gouvernement a décidé de gérer la COVID à la place des médecins, avec deux moyens d’oppression : la coercition sociale et la vaccination obligatoire.
La COVID outil de pouvoir (2)
Les Français doivent s’extraire de la COVID étatique et reprendre leur destin en main. Ils doivent reprendre le contrôle de leur vie. Ils doivent prendre à bras le corps les problèmes, engendrés par l’État, que la France affronte.
La COVID outil de pouvoir (1)
La religion officielle étatique a ses doxas. Le climat se dérègle par la faute de l’Homme, l’économie doit être collectiviste et verte, la politique doit être antifasciste et égalitariste…ou le contraire etc… la doxa e la COVID peut se résumer ainsi : la COVID est une épidémie très grave mettant chacun en danger, il n’y a pas de traitement précoce efficace, les mesures de contrainte sont nécessaires et incontournables, la vaccination est la seule planche de salut pour revenir au monde d’avant.
Éthique contre spoliation légale
Le confinement comme le pass sanitaire doivent être exclus par principe. La décision est purement politique. Il ne tient qu’au gouvernement de ne pas le décréter. Il n’a besoin d’aucune condition, ni d’aucune mesure « pour l’éviter ».
La Voix de Bastiat n°5
Dans la force du mot, l’homme naît propriétaire, parce qu’il naît avec des besoins dont la satisfaction est indispensable à la vie, avec des organes et des facultés dont l’exercice est indispensable à la satisfaction de ces besoins. Les facultés ne sont que le prolongement de la personne; la propriété n’est que le prolongement des facultés. Séparer l’homme de ses facultés, c’est le faire mourir; séparer l’homme du produit de ses facultés, c’est encore le faire mourir.
Grande Sécu (1) une nationalisation quasi complète du système.
Elle ne s’attaque pas au fond. Le fond c’est la déconnexion recettes/dépenses, la suppression de la responsabilité individuelle, la disparition de la prévoyance, l’absence de libre choix.
Grande sécu 2 des lacunes et ce qu’il faudrait faire
Aujourd’hui l’adhésion est obligatoire mais les prestations de la Sécu ne sont garanties par aucun contrat explicite avec les assujettis. Les remboursements sont soumis aux caprices des politiciens et les Français, prisonnier du monopole public, ne peuvent rien faire.
Les défis de l’après-Covid.
Les auteurs s’intéressent aux différents défis — politiques, économiques et sociétaux — auxquels la liberté fait face à la suite de cette période spéciale, et proposent des pistes pour que le «monde d’après» soit un monde de libertés.