le bonheur existe aussi en EHPAD. Plaisir de vivre et plaisir d’échanger, plaisir de partager avec autrui, avec d’autres personnes âgées ou avec du personnel attentif, avec de la famille, des visiteurs ou des intervenants extérieurs. Plaisir de partager le repas. Plaisir de ne pas être seul.
Catégorie : Billet du président
EHPAD, halte aux idées reçues
En résumé, dans les pays occidentaux, le contexte historique, les conditions de vie et de travail, les évolutions sociales ont entraîné peu à peu l’apparition durable de personnes âgées dépendantes, de plus en plus nombreuses, et par là même, grâce à la prospérité, de structures d’accueil spécialisées.
Les va-t-en guerre ont réussi leur coup.
On entend dans les médias que les Européens, les Français en particulier, vont subir les conséquences de la guerre en Ukraine. Ce n’est pas exact. Ils vont subir les conséquences des décisions prises par leurs gouvernants suite à la guerre en Ukraine. Ce sont les gens qui paient la facture des fautes des politiciens.
Au final le totalitarisme
le rôle de la Loi est « d’empêcher l’Injustice de régner ». Quand le gouvernement s’est mêlé de médecine et a porté atteinte à nos Droits naturels, dont nos libertés, au prétexte de la COVID, il a perverti la Loi. Cette « odieuse perversion de la Loi est une cause perpétuelle de haine, de discorde, pouvant aller jusqu’à la désorganisation sociale »
COVID. Après l’emmerdeur l’enfumeur
Au départ le vaccin a été vendu par la propagande comme empêchant la maladie. Puis cela a été piteusement revu à la baisse avec un « protège les autres ». Pour terminer par un tristounet « prévient les formes graves ». Castex s’accroche à la « moindre gravité grâce au vaccin » comme le naufragé à sa planche. Si cette assertion est démentie par les faits tout s’effondre.
Foncer dans le mur et accélérer (3)
Il faut être naïf pour croire que la coercition sociale rebute l’État. S’il l’avait en horreur, il n’envisagerait même pas de l’appliquer, par principe. Elle ne dépend que de lui. La coercition sociale lui sied. Elle lui sert à contrôler indéfiniment les populations au prétexte d’une épidémie, qu’il déclare grave et pérenne.
Foncer dans le mur et accélérer. 2
Les non vaccinés ne sont que des boucs émissaires. Il s’agit de les culpabiliser en les rendant responsables de toute la misère du monde. e n’est donc pas la contamination qu’il faut éviter de manière systématique. C’est la maladie et l’aggravation. D’où l’importance d’une prévention ciblée, incluant la vaccination, et d’un traitement précoce.
Foncer dans le mur et accélérer 1
Le problème n’est pas la COVID, le problème est que nos services hospitaliers sont à genoux depuis des années. Il n’est pas rationnel de demander à des gens qui ont plongé le pays dans la ruine de l’en sortir.
Totalitarisme en marche
Nous assistons à une formidable régression des libertés en France, depuis que le gouvernement a décidé de gérer la COVID à la place des médecins, avec deux moyens d’oppression : la coercition sociale et la vaccination obligatoire.
La COVID outil de pouvoir (2)
Les Français doivent s’extraire de la COVID étatique et reprendre leur destin en main. Ils doivent reprendre le contrôle de leur vie. Ils doivent prendre à bras le corps les problèmes, engendrés par l’État, que la France affronte.
La COVID outil de pouvoir (1)
La religion officielle étatique a ses doxas. Le climat se dérègle par la faute de l’Homme, l’économie doit être collectiviste et verte, la politique doit être antifasciste et égalitariste…ou le contraire etc… la doxa e la COVID peut se résumer ainsi : la COVID est une épidémie très grave mettant chacun en danger, il n’y a pas de traitement précoce efficace, les mesures de contrainte sont nécessaires et incontournables, la vaccination est la seule planche de salut pour revenir au monde d’avant.
Éthique contre spoliation légale
Le confinement comme le pass sanitaire doivent être exclus par principe. La décision est purement politique. Il ne tient qu’au gouvernement de ne pas le décréter. Il n’a besoin d’aucune condition, ni d’aucune mesure « pour l’éviter ».
Grande Sécu (1) une nationalisation quasi complète du système.
Elle ne s’attaque pas au fond. Le fond c’est la déconnexion recettes/dépenses, la suppression de la responsabilité individuelle, la disparition de la prévoyance, l’absence de libre choix.
Grande sécu 2 des lacunes et ce qu’il faudrait faire
Aujourd’hui l’adhésion est obligatoire mais les prestations de la Sécu ne sont garanties par aucun contrat explicite avec les assujettis. Les remboursements sont soumis aux caprices des politiciens et les Français, prisonnier du monopole public, ne peuvent rien faire.
Comment la santé mentale disparait avec les restrictions (2)
En imposant l’insensé l’Autorité centrale teste son pouvoir, mais aussi le degré de soumission, et de résistance à l’oppression des populations. Elle leur enlève tout esprit critique et toute idée de rébellion. Un certain épuisement psychologique se fait sentir.
Comment la santé mentale disparait avec les restrictions (1)
Demander à quelqu’un qui a créé une situation mortifère de nous en sortir est incohérent et ne donne jamais de résultat. Cela témoigne d’une grande souffrance et d’une perte des repères.
Vaccination obligatoire des soignants, chantage et exécution sommaire
Par perversion l’État a besoin d’une épidémie vécue comme grave pour justifier les mesures de coercition sociale prises depuis le début.
Le pass sanitaire discrimine et entrave l’accès aux soins
L’objectif n’est pas d’éviter la contamination, mais que cette contamination se fasse dans les règles.
Les partisans du pass-sanitaire ont largement manié le sophisme. Le plus fréquent était « Si des personnes choisissent librement de ne pas se faire vacciner, cela veut dire qu’elles acceptent librement de ne pas aller au restaurant ». Il serait étonnant de les entendre utiliser celui-ci « Si des personnes choisissent librement de ne pas se faire vacciner, cela veut dire qu’elles acceptent librement de ne pas aller se faire soigner, ou de ne pas accompagner leur enfant malade se faire soigner. »
À partir du moment où l’on crée une condition à l’accès aux soins, il est incontestable que l’on entrave l’accès aux soins. Sans entrave veut dire sans condition. Bizarrement pour le Conseil constitutionnel, une condition d’accès aux soins n’est pas une entrave. Pour lui un accès libre aux seules urgence élimine toute entrave à l’accès à tous les soins. Or les soins ne se réduisent pas aux soins urgents. Contrairement à ce qu’à l’air de penser le Conseil, les soins programmés sont aussi des soins.
Les limites du Conseil constitutionnel
On retombe là sur le problème posé par la perversion de la loi. Dans le cas qui nous concerne, la loi élaborée par la commission paritaire du 25 juillet pose ces bornes. Comme le Conseil refuse de mettre dans la balance les Droits fondamentaux, de se prononcer sur les Principes « Personnalité, Liberté, Propriété, » qui sont l’Homme, il valide de fait la politique gouvernementale et rend bien un jugement politique.
Ce qui confirme au demeurant que sommes donc dans un régime totalitaire. Tout est politique et le politique peut tout, à condition d’y mettre les formes.
« Pass sanitaire » ou comment s’asseoir sur l’éthique.
Le « pass sanitaire », peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict des gens. Il y a de fortes chances que ce « pass » finisse par ne pas concerner uniquement la COVID. Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement « citoyen » des individus, écolo-responsables comme il se doit, le comportement des entreprises « citoyennes », elles aussi « écolo-responsables » et « solidaires », le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.
C’est la porte ouverte au « crédit social ». Si les Français ne peuvent plus voyager en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois, si les Chinois ne se mêlent pas de politique ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruine.
Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du « pass » aux Français. Soyez sans crainte,… façon de parler, il en trouvera. Il suffit de regarder que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le « pas sanitaire » : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.