On entend souvent que la santé n’est pas une marchandise, ou qu’elle n’a pas de prix mais un coût. Ce sont des élucubrations sémantiques. L’important est de disposer d’informations fiables pour prendre de bonne décisions. Or en économie ce sont les prix libres qui donnent ces informations. C’est grâce à eux que les soins seront disponibles et accessibles. Les tarifs administrés ne donnent des indications que sur la politique sanitaire.
Étiquette : pénurie
Pour un système de santé performant
Malgré l’hospitalocentrisme le secteur hospitalier français public est en grande difficulté. Le secteur hospitalier privé ne va pas mieux. Ces problèmes ont sauté aux yeux au moment des COVID, gérées politiquement et, dans un premier temps, uniquement autour de l’hôpital public. L’insuffisance de moyens, manque de lits de médecine, manque de lits de réanimation, a justifié la coercition sociale.
Tension sur le Doliprane, l’arbre cache la forêt
La réindustrialisation n’est pas le seul enjeu. Elle ne peut réussir que dans le cadre d’une renaissance de l’ensemble de l’économie française avec un allègement gigantesque des contraintes et coercitions qui pèsent sur les Français et les entreprises. Faute de quoi le retour du paracétamol restera une rustine sur un pneu crevé,un fantasme gouvernemental
Choix énergies vertes et guerre en Ukraine
Les marchands de gaz, Engie et Gazprom, ont toujours fait campagne contre le charbon et le nucléaire, et en faveur de l’éolien. Exactement comme les Verts. On a même quelques raisons de penser que Gazprom a généreusement soutenu des ONG comme Greenpeace dans ce combat commun.
Vaccination obligatoire des soignants, chantage et exécution sommaire
Par perversion l’État a besoin d’une épidémie vécue comme grave pour justifier les mesures de coercition sociale prises depuis le début.
Les matières premières dans le contexte de la crise 2020-21 Déjeuner débat 18 septembre
Après une année et demi d’interruption pour raison de crise dite sanitaire, retrouvez la convivialité des déjeuners débat du Cercle Frédéric Bastiat. Loin de la pensée unique flânez hors des sentiers battus, cultivez vos connaissances, découvrez des idées originales. Participez à de riches échanges avec des personnes intéressantes avec qui vous nouerez des relations sympathiques. Venez débattre librement avec des conférenciers de grande qualité, références en leur domaine. Vivez des instants chaleureux dans un cadre accueillant, propice à la réflexion et à la détente.
En ce début d’été 2021, le monde est confronté à un paradoxe. On veut oublier la pandémie, croire qu’elle est derrière nous que la vaccination a tout réglé, alors même que de nouveaux variants apparaissent, que des pays entiers basculent à nouveau dans le confinement, que d’autres s’y préparent. Du point de vue économique la page serait tournée et la « crise de 2020 » presque oubliée. Les marchés, par le dynamisme de la demande, ont bien reflété cet optimisme, et on sent même une certaine euphorie estivale. Mais celle-ci reste bien fragile tant les retournements de la pandémie peuvent être brutaux.
La Sécurité sociale et le rationnement des soins. Partie 2
Quand les soins sont rationnés en situation de base, il ne faut pas s’attendre à des merveilles en situation exceptionnelle. Tant que la France gardera son système, dont le but est, en circonstances « normales », « habituelles », le rationnement des soins, il lui sera toujours impossible de faire face à une crise sanitaire, fut-elle médicalement parfaitement gérable.
Confinement : comment en est on arrivé là.
Le fait que cette épidémie parte de Chine aurait dû nous permettre de nous préparer. Certes le coronavirus COVID-19 se propage très vite. C’est même une des spécificités de cette épidémie. Sur le terrain, le système de santé français n’était pas prêt. Quand on étudie la manière dont le gouvernement Français a réagi on constate que c’est l’exact contraire de ce qu’ont fait les Taïwanais ou les Sud-Coréens.