Rome, du libéralisme au socialisme Leçon antique pour notre temps

Rome, du libéralisme au socialisme Leçon antique pour notre temps

Le Cercle Frédéric Bastiat Serait honoré par votre participation au dîner débat qui aura lieu Le samedi 14 mars à 19h30 A l’hôtel Calicéo, à Saint-Paul-Lès-Dax Attention, ce dîner débat sera précédé par notre Assemblée générale annuelle à 18H Le dîner débat sera animé par Monsieur Philippe Fabry sur le thème Rome, du libéralisme au socialisme Leçon antique pour notre temps Prière de vous inscrire dès que possible en utilisant le bulletin réponse ci-joint L’Empire s’effondre. Le pouvoir central s’écroule et se dissout. Le territoire impérial se démembre sous l’effet de l’appropriation des structures du pouvoir par la classe dominant le système corrompu des derniers temps de l’ordre impérial et la résurgence sous son vernis craquelé des anciens particularismes locaux et spécificités culturelles et ethniques. Parlons-nous ici de Rome ? Oui et non. Oui parce que c’est ce qui est arrivé au plus grand empire de l’Antiquité. Non parce qu’en rédigeant ces quelques lignes, c’est la chute de l’URSS que nous avons à l’esprit. Rome s’est effondrée de la même façon que l’URSS parce que son effondrement avait les mêmes causes. Cet aspect socialiste et totalitaire de l’Empire romain a été mis en avant par de nombreux auteurs durant le XXe siècle, après la terrifiante révolution bolchévique russe, puis en réponse aux peurs de la guerre froide, et la chute finale de l’URSS leur a donné raison. Mais avant cela, avant l’Empire, Rome fut une République et même, à ses débuts, une République libérale, très libérale, par son droit, par ses institutions. Cet aspect de la République est très méconnu du grand public aujourd’hui, et n’est pas vraiment relevé par les historiens, en particulier quand ceux-ci cherchent à résoudre l’énigme de la chute de Rome qui, le plus souvent, les laisse perplexe. Pourtant, comment comprendre la chute sans essayer, d’abord, de comprendre l’ascension ? Et comment comprendre l’extraordinaire ascension de Rome dans le monde antique, sans égale jusqu’à celle des Etats-Unis d’Amérique aux XIXe-XXe siècles, si l’on ne voit pas dans son goût et sa pratique de la liberté la source de son prodigieux dynamisme ? Source dont le tarissement explique le déclin, et l’effondrement final. Cette quête n’est pas qu’une quête d’historiens. Derrière l’histoire de Rome, de son ascension et de sa chute, ce sont les mécanismes permanents de la liberté et de l’étatisme, les bienfaits de l’une et les méfaits de l’autre, qui se donnent à voir, ainsi que l’enchaînement redoutable qui peut conduire les peuples les plus libres à se livrer à la servitude la plus totale. Et par-delà le simple examen d’un exemple historique, c’est le tableau de notre propre époque que nous serons amenés à mieux brosser. Philippe Fabry est juriste et historien du droit, des institutions et des idées politiques. Il a enseigné à l'Université Toulouse 1 Capitole. Féru d'histoire romaine, il est aussi passionné par la doctrine libérale, politique comme économique, et spécialement les travaux de l'École autrichienne. Il contribue au site d'information Contrepoints, et participe depuis peu à l’action de l’Institut Coppet, cherchant à promouvoir la tradition libérale française. Son livre Rome, du libéralisme au socialisme : Leçon antique pour notre temps, a reçu le Prix du livre libéral 2014 de l’ALEPS. Ci-joint le bulletin d’inscription. Pour tout renseignement complémentaire, www.bastiat.net. Pour contacter le Cercle à :cercle.bastiat@gmail.com ou au 05 59 45 36 47. bulletin_d_inscription_dd_14_mars_2015.pdf
Pour devenir membre du cercle, il suffit d'envoyer au Cercle Frédéric Bastiat , 40440 Ondres, un chèque de 30 € par famille pour l’adhésion simple et 50 € pour l’adhésion de soutien, 100 € adhésion de soutien à l'ordre du Cercle Frédéric Bastiat. On peut aussi s'inscrire par e-mail. Les modalités (très simples) sont indiquées sur le site Internet du Cercle, www.bastiat.net. Il n'est pas nécessaire d'être membre du cercle pour assister à ses dîners-débats.



0 commentaire(s)


Vous souhaitez commenter ?

Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs requis sont marqués d'une *