Weekend de la Liberté, découvrez vos conférenciers

Weekend de la Liberté, découvrez vos conférenciers

Liberté économique, liberté politique


 

Venez assister au 12ème Weekend de la Liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat. Son thème cette année est « Liberté économique, liberté politique » Il aura lieu du 10 novembre au déjeuner au 12 novembre au déjeuner, à l’hôtel Sourcéo de Saint-Paul-Lès-Dax. 12 conférenciers vous attendent. Les sujets traités sont variés :la monnaie, le bitcoin, le libéralisme, le libre-arbitre, la liberté économique, l’entreprise, le profit, l’éducation, la liberté politique, le bien commun, l’état de la France.

L’esprit du Weekend de la Liberté est indépendant et hors pensée unique. Par votre présence vous affirmez que vous êtes des résistants au politiquement correct. Assister au Week-end de la liberté c’est faire preuve de courage et de résilience par rapport au conformisme ambiant

Lors de ce congrès, en présentiel, dans une ambiance conviviale et sympathique, où les moments de détente alternent avec les moments de travail, vous écouterez les orateurs suivants :

Par ordre alphabétique :

Finn Andreen, Kevin Brookes, Patrick de Casanove, Jean-Philippe Delsol, Renaud Fillieule, Stéphane Geyres, Vincent Ginocchio, Claude Goudron, Lisa Kamen-Hirsig. Olivier Méresse, Serge Schweitzer, Damien Theillier,

Chaque intervention de 45 minutes sera suivie d’un débat de même durée, libre et courtois, entre le conférencier et l’assistance.

Tous ces orateurs sont à votre disposition le temps du congrès pour discuter avec vous. Tout est organisé pour des échanges de bon aloi dans un cadre agréable. N’hésitez pas à leur poser des questions lors des débats. N’hésitez pas à venir à leur rencontre pendant les pauses.

Lors de la foire aux livres les associations, les conférenciers, et les auteurs présents, se feront un plaisir de dédicacer leurs ouvrages.

Inscrivez-vous et venez écouter :

Finn Andreen

 

 

 

 

 

 

 

La liberté politique, parmi tant de définitions de liberté.

Il faut noter que le mot "liberté" a été défini de beaucoup de manières différentes. Le libéral doit connaître ses définitions et s'approprier le mot liberté en revenant a au sens fondamental de ce mot: la liberté politique dans le sens d'absence d'agression étatique.

Finn Andreen est un auteur libertarien suédois vivant en France. Il est membre du Cercle Bastiat et du Ludwig von Mises Institute aux États-Unis. Il contribue régulièrement avec des articles sur la situation française et internationale, d'un point du vue libéral.

Kevin Brookes

 


 

 

 

 

 

Pourquoi nous avons besoin de liberté économique.

"La liberté économique fait l'objet de nombreuses attaques fondées sur deux registres : celui de la moralité et celui de l'efficacité. Cette conférence propose de définir la liberté économique et de montrer en quoi elle est profondément fondée sur le plan moral et ne peut être séparée des autres libertés. La reléguer au deuxième plan conduit à réduire de manière irréversible nos libertés individuelles. Ensuite, en s'appuyant sur des travaux récents en science économique, la conférence exposera les effets indirects et positifs de la liberté économique. Non seulement, elle favorise le bien être matériel des plus démunis, mais elle est également le meilleur outil pour favoriser la condition des femmes et affronter les défis climatiques."

"Kevin Brookes est enseignant-chercheur en science politique et collaborateur d'élus. Il a obtenu son doctorat à l'Université de Grenoble-Alpes qui a été publiée sous la forme du livre Why Neo-liberalism Failed in France (Palgrave Mac Millan, 2021). Il est spécialiste de la pensée libérale, des politiques publiques, et de la liberté économique. Il a travaillé dans des universités françaises et canadiennes (Sciences Po Grenoble, HEC Montréal) et pour plusieurs think tanks (Institut Economique de Montréal, Generation Libre)."

Patrick de Casanove


 


 


 


 


 

Liberté économique, liberté politique, un désastre français

« Le pouvoir, vaste corps organisé et vivant, tend naturellement à s’agrandir. Il se trouve à l’étroit dans sa mission de surveillance. Or, il n’y a pas pour lui d’agrandissement possibles en dehors d’empiétements successifs sur le domaine des facultés individuelles. » À MM. Les électeurs de l’arrondissement de Saint-Sever, Profession de fois électorale 1846.

Cette tendance intrinsèque à s’étendre fait écrire à Ayn Rand « La différence entre un État providence et un État totalitaire n'est qu'une question de temps. »

Le compte a rebours a commencé en 1945, à la Libération. Les Gaullistes et les communistes ont mis la France sur la « route de la servitude » qui est l’interventionnisme étatique, le collectivisme. Il induit une disparition progressive des libertés et aboutit au totalitarisme. Le compte à rebours s’est brutalement accéléré ces dernières années parce que l’État dispose de moyens puissants d’aggraver son immixtion dans la vie privée et d’accroître son pouvoir : intelligence artificielle, algorithmes, numérique... De plus il a il a trouvé de formidables leviers pour à gouverner par la peur : la COVID et la catastrophe climatique . Covid, catastrophe climatique, et guerre en Ukraine se conjuguent pour réduire la liberté d’expression et la liberté économique puisque les personnes ne peuvent plus échanger librement ce qui leur appartient.

Le Docteur Patrick de Casanove, diplômé en 1985, a exercé comme généraliste dans la ville d'Ondres de 1986 à 2017. Il en a été le Maire de 1995 à 2001. En 2017 il est devenu médecin coordonnateur en EHPAD. Il est retraité depuis juillet 2022.

Il est l’auteur de Sécu comment faire mieux, éditions Tatamis, paru en 2012. Il porte la voix de Bastiat dans des médias libéraux, ou non. Il est président du Cercle Frédéric Bastiat.

Jean-Philippe Delsol

 

 

 

 

 

Libre-arbitre et bien commun.

La liberté ne se divise pas. Parce qu’elle est l’expression de notre libre arbitre qui contribue à l’unité de notre être. C’est pourquoi la découverte de notre libre arbitre par la religion judéo-chrétienne, la philosophie grecque et le droit romain a permis de bâtir une civilisation unique, riche de son progrès économique autant que culturel et éthique, dans le respect des personnes.

Jean-Philippe Delsol est docteur en droit et licencié ès lettres,  avocat et président de l’Institut de Recherches Économiques et Fiscales –IREF-, think tank européen qui étudie et commente l’actualité économique et fiscale. Essayiste, il a écrit de nombreux ouvrages dont L’injustice fiscale ou l’abus de bien commun (2016), Eloge de l’inégalité (2019), Civilisation et libre arbitre (2022).

Renaud Fillieule


 


 


 


 

 

Théorie et justification du profit dans un régime de liberté économique

 

Cette intervention s’intéresse au « mystère du profit ». D’où vient le profit et à quoi sert-il ? Provient-il d’une exploitation des travailleurs comme l’affirmait Marx et comme beaucoup de gens le croient encore aujourd’hui ? Une démonstration peu connue mais décisive de Böhm-Bawerk met en lumière dès la fin du 19e siècle l’erreur de raisonnement commise par Marx. L’économie standard enseignée aujourd’hui dans les manuels d’économie est-elle mieux en mesure de résoudre le mystère du profit et de justifier ce type de revenu ? J’essaierai de montrer qu’il n’en est rien. L’enseignement des manuels universitaires actuels ne sait ni ce qu’est le profit, ni d’où il provient, ni à quoi il sert. Pour terminer, j’évoquerai la théorie de l’école autrichienne d’économie, qui de son côté explique et légitime correctement le profit, conduisant à une défense rationnelle du régime de liberté économique de par ses effets bénéfiques sur le bien-être matériel de l’humanité.

Renaud Fillieule est professeur de sociologie à l’Université de Lille. Il a fait sa thèse sur la question de la rationalité sous la direction de Raymond Boudon et a publié sur les thèmes de la sociologie de la délinquance, la sociologie des prix, et l’école autrichienne d’économie.

 

Stéphane Geyres

 

 

 

 

 

 

 

 

Découper la liberté c’est la perdre

Découper la Liberté, c’est la perdre. On parle parfois de Liberté individuelle et Liberté économique, on imagine de même que l’une serait la condition préalable nécessaire à l’autre. Mais on oublie souvent de soupeser la pertinence d’un tel découpage. Or pour les libertariens, cette césure n’a pas lieu d’être, droit et économie s’entrecroisant à chaque instant de la vie sociale. Surtout, c’est bien du champ économique que les institutions opérationnelles du droit peuvent prendre forme, et de lui seul. Explorons tout cela…

 

Stéphane Geyres, 61 ans, est dans la vie professionnelle consultant en risques et gouvernance informatiques auprès de grandes entreprises, en France et à l’international.

Dans le milieu libéral, il a été actif chez l’Institut Coppet et relança le Mouvement des Libertariens. Puis il s’est investi dans l’édition, avec Résurgence et la traduction du « Démocratie » de Hoppe, puis avec les Éditions John Galt qui publient entre autres C.Michel, F-R. Rideau, E. Faguet et B. Constant.

Vincent Ginocchio

 

 

 

 

 

 

 

Monnaie saine et production d'énergie :


Grâce à la convergence de technologies qui ont permis depuis 2009 le développement du système monétaire décentralisé appelé Bitcoin, allons-nous enfin vers une séparation inéluctable de la monnaie et de l'Etat ? Par la même occasion, cela peut-il entraîner une libéralisation ainsi qu'une décentralisation de la production d'énergie dans les régions où celle-ci était autrefois non rentable ?

Ingénieur en télécommunications et ancien président de l'association Liberté Chérie, Vincent Ginocchio consacre une partie importante de son temps à l'étude et à la promotion du Bitcoin.

Claude Goudron


 


 


 


 

Liberté, le point de vue de l’entreprise.

La liberté est en recul dans le monde, nos ancêtres se sont battus pour elle, nous ne semblons même plus capables de nous battre pour la conserver.

C’est particulièrement vrai en ce qui concerne « les libertés d’entreprendre », en effet la liberté ne se limite pas à la création qui n’est pas un problème en France, mais aux multiples « libertés de la diriger » qui sont bafouées dans notre pays :

Dans une économie compétitive telle que l’occident la pratique il n’y a liberté que dans l’égalité des chances, avec peut-être quelques variantes plus ou moins justifiées mais dont la moyenne doit-être le minimal atteignable.

Malheureusement, dans notre pays étatique et aveuglé par un égalitarisme exacerbé, nous cochons toutes les « tares » dans la liberté d’entreprendre.

La première d’entre elles est dans la surtaxation de nos entreprises, mais également dans d’autres domaines telle un étatisme hors d’âge et d’une grande inefficacité reconnue, d’un environnement normatif délirant et un dogmatisme écologique mortifère.

Ce sont ces atteintes indirectes à la liberté d’entreprendre que je veux dénoncer dans mon exposé.

« Durant mes quarante années de création, gestion et développement d’une entreprise industrielle j’ai acquis une expertise de terrain et je peux témoigner de la schizophrénie d’une administration et d’une certaine classe politique dont le but est à l’opposé de ce que peut attendre un chef d’entreprise.

Mes conflits, particulièrement avec l’URSSAF, souvent digne de Kafka et de Courteline, ne sont malheureusement pas l’exception.

J’ai donc décidé d’utiliser mes années de retraites pour tout d’abord les dénoncer et surtout pour aider, dans la mesure du possible, les petites et moyennes entreprises à se battre pour leur survie. » Claude Goudron

Lisa Kamen-Hirsig

 

 

 

 

 

 

 

 

La liberté économique, condition de la liberté éducative

Toutes les enquêtes le montrent : les Français ne croient plus en la capacité de l'État à instruire leurs enfants. Ils attendent : - davantage d'autonomie des établissements (à la finlandaise ou à l'estonienne) - davantage de liberté de choix : que les financements publics suivent leurs choix éducatifs. Actuellement, seule une minorité de gens peuvent exercer ce choix compte tenu des tarifs de la plupart des établissements privés et de leur rareté. Le monopole de l'État sur le financement de l'école engendre de grandes inégalités. Les solutions proposées sont généralement très jacobines, l'école étant perçue chez nous comme un domaine régalien depuis la Révolution et plus encore depuis 1905. Pourtant la clé de la liberté éducative est économique : agir sur le financement de l'école et des formations des enseignants est la condition du retour à la liberté et à l'égalité. Différentes formules peuvent être explorées (défiscalisation, chèque scolarité, compte épargne éducation..) et testées à des échelles locales ou sur des publics particuliers avant d'être généralisées. La concurrence provoquée entre établissements et les mesures corollaires à cette mesure principale (suppression de la carte scolaire, retour à un régime de déclaration de l'instruction en famille, création d'examens nationaux, transparence et publicité des résultats des établissements...) permettront à de nouveaux acteurs d'émerger et de renverser le monopole de l'Éducation nationale. La tribune que j'avais écrite avec David Lisnard en 2021 évoquait déjà ce lien entre financement et liberté :

Après des études de droit et un parcours dans le conseil (recrutement puis communication), Lisa Kamen-Hirsig est devenue professeur(e) des écoles en 2004. Elle enseigne aussi à l'IFP (institut de formation politique).
Sa chronique « Rendez-vous avec la maîtresse » sur RTL a séduit un large public.
Auteur(e) de « La grande garderie » (parution en août 2023 chez Albin Michel), elle chronique régulièrement dans Le Point, Le Figaro, Contrepoints, Atlantico ou encore Marianne.

Olivier Meresse


 


 


 


 


 

Les entreprises privées portent et incarnent des visions du monde concurrentes

Rien ne serait plus dramatique que de voir toutes les entreprises privées communier dans de mêmes projets politiques (obsession de lutter contre le dérèglement climatique, pour l'électrification généralisée, contre la moindre émission de carbone, pour des approches wokistes, etc.) or c'est exactement ce qu'on constate aujourd'hui. Idéalement, le droit ne spécifie que ce qui est interdit et, dans le vaste cadre de ce qui reste autorisé, les acteurs privés doivent être libres de faire valoir leurs priorités en cohérence avec les missions qu'ils se donnent. Il en va de la fertilité et de la prospérité des marchés.

Après avoir été concepteur-rédacteur puis avoir dirigé le planning stratégique de grandes agences françaises ou américaines à Paris, Olivier Méresse conseille aujourd’hui des entrepreneurs privés et consacre une large part de son temps à la défense et à la promotion des idées libérales. Administrateur de l’Aleps, il a pris la suite de Jacques Garello à la direction du Libre Journal des économistes, « l’émission ultra-néo-turbo-libérale sauvage » de Radio Courtoisie.
 

Serge Schweitzer


 


 


 


 


Libéralisme, pourquoi tant de haine

Les institutions économiques du libéralisme ont, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité vaincu la malédiction ancestrale de la famine qui fait écrire au pasteur Malthus qu’au banquet de la nature tous ne sont pas invités.

Un siècle auparavant, les Lumières, donc le libéralisme politique, ont désincarcéré l’individu des chaînes lui interdisant d’épanouir nombre de ses virtualités hors des dogmes et passages obligés. On pourrait imaginer alors que le libéralisme fait l’objet d’un quasi-consensus à tout le moins de préjugés plutôt favorables.

Or, non seulement ce n’est pas le cas, mais encore c’est bien de l’inverse dont il s’agit. Hors d’une cohorte, appréciable mais restreinte, il reste au meilleur des cas toléré au prétexte utilitariste qu’il est le seul système capable de remplir les linéaires. Plus souvent, presque toujours, il est ici contesté, là refusé, là encore détesté, là enfin haï. C’est sans nul doute en matière intellectuelle le plus grand mystère de notre époque. Cet ouvrage relève le défi, tentant de comprendre les raisons d cette très injuste hostilité presque générale. Après avoir démontré que défendre le libéralisme n’est pas rentable pour un intellectuel, une plongée dans l’histoire est nécessaire pour comprendre comment et pourquoi les économistes libéraux furent évincés de l’université publique française. Puis, dans le sillage de Raymond Boudon, sont reprises et approfondies les raisons pour lesquelles la plupart des intellectuels et les médias sont presque toujours réticents, voire hostiles au libéralisme. Enfin, sans excès, mais sans concession non plus, les ultimes réflexions s’essaient en un portrait croisé sur la sociologie et la psychologie des libéraux et des socialistes.

Serge Schweitzer est diplômé en Droit (DES), en Finance (DESS), et docteur en sciences économiques « Le programme de recherche autrichien en méthodologie économique : essai de définition ». Président sortant du Département d’Économie, Sciences Humaines et Sociales, Aix-Marseille Université. Ancien assesseur du doyen de la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille. Ancien professeur d’Analyse Économique de la Défense aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan. Membre du jury du concours d’entrée aux EMIA (Ecole Militaire Interarma). Fondateur de la filière Analyse Économique à l’Institut Catholique d’Études Supérieures. (La Roche-sur-Yon)

Œuvres récentes

2023 « Libéralisme, autopsie d’une incompréhension » Presses Universitaires d’Aix-Marseille.

2022 Colloque Banque de France-Fondation Napoléon.

Damien Theillier


 


 


 


 


Pourquoi la fausse monnaie des banques centrales nous rend esclaves

La monnaie est la clé de voûte d’une civilisation. Elle conditionne directement l’usage que nous faisons de notre liberté et donc de notre propriété. Une monnaie saine permet à chacun de tracer et de planifier par soi-même l’avenir : épargne, accumulation du capital, investissement, amélioration du sort des générations futures.

Mais dans les mains de l’État, imposée de façon centralisée et produite sans garantie en or, elle est devenue un moyen d’asservissement. Depuis 1971, les gouvernements ont interdit à l’or de jouer son rôle monétaire naturel, et contraint les gens à utiliser leur papier-monnaie inflationniste. Les conséquences de cet événement sont multiples. Elles produisent de mauvaises incitations dans tous les domaines : éducation, famille, santé, arts, culture, économie.

Seul un système d'échange monétaire comme Bitcoin, sans intermédiaire, in-censurable et sans permission, empêcherait les banques centrales de nous asservir.

Damien Theillier est professeur de philosophie en terminale et en classes préparatoires à Paris, fondateur de l'Institut Coppet et président de l'Académie Libre des Sciences Humaines. Auteur de plusieurs livres dont Un chemin de liberté. La philosophie de l'Antiquité à nos jours. Berg International, Paris 2013. Et Frédéric Bastiat, L'État ou La grande illusion, Préface, Arfuyen, Paris, 2017. Il anime le site  : https://fredericbastiat.fr/

 

Pour information aucun conférencier n'est rémunéré. Il acceptent tous d'intervenir bénévolement. Qu'ils en soient remerciés. Ils sont seulement défrayés. Les conférenciers membres du Cercle Frédéric Bastiat ne le sont pas, et paient leur inscription comme tout le monde.

Si cet état d'esprit vous plaît, vous pouvez-aider le Cercle Frédéric Bastiat en adhérant ou en faisant un don.

Passez de la parole aux actes : faites progresser le libéralisme en France avec le Cercle Frédéric Bastiat
Pour garder son indépendance, le Cercle Frédéric Bastiat ne reçoit aucune subvention. Il ne vit que de vos adhésions et dons. Aidez-nous à populariser les idées libérales. Vous avez 3 façons concrètes de soutenir le Cercle : assister à ses événements,  adhérer au Cercle, ou donner.
 


 




0 commentaire(s)


Vous souhaitez commenter ?

Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs requis sont marqués d'une *