Écolos, grand capital… même combat ?

Écolos, grand capital… même combat ?

Une opinion de Max Falque en réponse à la question : pourquoi les grandes entreprises nationales et internationales soutiennent financièrement et intellectuellement le mouvement écologiste, y compris dans ses formes les plus radicales ?
Le flot montant des lois modernes ne crée pas du Droit. Elles sont, ces lois, la traduction de la poussée des intérêts, de la fantaisie des opinions, de la violence des passions. Risibles dans leur désordre quand elles sont l’œuvre d’un Pouvoir toujours plus étendu, mais toujours plus énervé par la dispute des factions. Elles ne méritent et n’obtiennent de respect que celui que la contrainte procure.
- Bertrand de Jouvenel (1903-1987)

Un paradoxe

Ayant pris en 1996 la direction de l’ICREI [1]  crée par Alain Madelin en 1992, afin de promouvoir une écologie libérale  c’est-à-dire fondée sur les droits de propriété et le marché, comme complément et/ou alternative à la règlementation environnementale,  je m’attendais à trouver un accueil favorable auprès des grandes entreprises ou de leurs organismes représentatifs. Au cours de l’organisation de dix conférences internationales[2] dans le cadre de l’Université d’Aix-en-Provence,  nous avons tenté d’obtenir une participation intellectuelle et financière de la part de ceux que nous considérions  comme des partenaires naturels. Cela ne fut que rarement le cas et c’est plutôt auprès du réseau des intellectuels libéraux,  de la  haute fonction publique, notamment celle du Ministère de l’Environnement et des collectivités locales que nous avons obtenu des soutiens modestes mais suffisants à la survie de nos activités. Pour autant si «  Entreprises pour l’Environnent »[3] nous a soutenu modestement à plusieurs reprises, j’ai de bonnes raisons de penser que les relations personnelles ont été déterminantes. En ce qui concerne le World Business Council for SustainableDevelopment[4]  mon entretien à Genève s’est avéré inutile  de toute évidence les droits de propriété et le marché étaient mois  au cœur de leurs préoccupations environnementales que probablement le « greenwashing »! On peut donc se poser la question : comment se fait-il que les grandes entreprises nationales et internationales soutiennent financièrement et intellectuellement le mouvement écologiste, y compris dans ses formes les plus radicales ?[5]

Aux Etats Unis , les leçons de la prohibition

En  fait nous sommes en bonne compagnie : on observe aux Etats Unis  la même contradiction « En se retirant de l'accord de Paris sur le climat de 2015, le président Donald Trump a mis fin à l'engagement pris par les États-Unis de réduire leurs émissions de carbone (une promesse clé de la campagne démocrate). Mais la sortie de M. Trump de l'Accord de Paris a révélé quelques adversaires improbables à savoir des  géants industriels qui, à première vue, auraient dû être satisfaits par une décision les exemptant d’ être obligés de réduire leurs émissions. » Cette apparente contradiction a été analysée par Bruce  Yandle[6] sous le titre « Bootleggers and Baptists »[7] à savoir que les trafiquants d’alcool et les ligues de vertu avaient  des objectifs opposés … mais en fait collaboraient. En effet militer pour la suppression de la vente d’alcool  le dimanche ne pouvait qu’accroître  les revenus des bootleggers en supprimant la concurrence. Ainsi le fait que les environnementalistes aient critiqué sans appel la décision du Président Trump n'est pas surprenant. Ce qui l’est c'est qu'ils aient été rejoints par une forte coalition d'industriels qui ont estimé qu'il était de leur intérêt vital d'appuyer l'accord de Paris : Exxon Mobil et Conoco-Phillips, deux des plus grands producteurs mondiaux de pétrole, ont exhorté Trump à respecter l'accord de Paris. Microsoft, Apple, Nike, le géant industriel allemand Siemens et son homologue suisse ABB, pour n'en citer que quelques-uns, se sont joints à eux et ont soutenu l'accord… bien entendu au nom de la morale conforme au  politiquement correct ! Pourquoi ces industriels réclament-ils les mêmes politiques de réduction des émissions de carbone que les environnementalistes ? Pourquoi veulent-ils des normes mondiales ? Comme toujours, les motivations sont multiples. Microsoft et Apple, par exemple, sont profondément engagés dans le développement de logiciels pour les voitures électriques, Siemens et ABB sont des fournisseurs mondiaux de machines électriques qui améliorent l'efficacité énergétique et qui, selon eux, peuvent réduire la consommation totale d'énergie, les coûts d'exploitation et les émissions de carbone. Avoir un bon coup de pouce au marché grâce à l’Accord de Paris pour leurs produits préférés pourrait aider à améliorer les résultats financiers.

Le cas de la politique climatique : une coalition contre nature

Cette coalition improbable est la preuve d'une nouvelle version de l'alliance séculaire entre malfaiteurs (bootleggers) et ligues de vertu (baptists). L'histoire se déroule comme suit : les fidèles ne daigneraient normalement pas s’associer avec des trafiquants d’alcool mais en fait  les deux groupes partagent un intérêt commun et une même finalité politique. Ils veulent tous les deux fermer les commerces vendant de l'alcool le dimanche mais pour  des raisons très différentes : les baptistes apportent un soutien moral à la politique, tandis que les contrebandiers augmentent leurs ptofis. Lorsqu'ils sont combinés, les deux groupes ont tendance à former des coalitions gagnantes dans une variété de contextes. Les écologistes jouent le rôle des baptistes qui, pour des raisons morales, soutiennent les lois de fermeture du dimanche. Aujourd'hui, au lieu de fermer les magasins d'alcool, ces « baptistes environnementaux »  veulent interdire  les émissions  de carbone. Au cours des dernières années, les environnementalistes ont appuyé les restrictions qui, aidées par les forces du marché, ont entraîné la fermeture de mines de charbon, la fermeture ou la pénalisation de centrales thermiques, la limitation des émissions de combustibles fossiles, la réglementation de la technologie  automobiles… Aux Etats Unis , depuis les années 1970 et l’organisation du premier Jour de la Terre, les associations environnementales ( baptists) ont préféré la réglementation fédérale et ont souvent plaidé avec succès contre l'utilisation traditionnelle de la common law (droit privé) décentralisée au profit de la réglementation fédérale, minorant ainsi leurs coûts pour atteindre leurs objectifs. En effet, pour les grandes entreprises les réglementations centralisées  peuvent  augmenter les coûts de leurs concurrents  et limiter l'entrée de nouveaux acteurs. Elles  accueillent favorablement les subventions à la charges des contribuables et les prêts garantis par le gouvernement pour le développement de nouvelle technologies :  piles solaires,  batteries améliorées, automobiles sans émissions et d'autres formes d'énergie renouvelables notamment solaire, éolien….Ils rêvent aussi peut-être de cartelliser les marchés mondiaux par des réglementations coordonnées et des prix plus élevés qui pourraient résulter des accords mondiaux de réduction des émissions, à savoir des politiques  qu'ils contribuent à définir. Avec des subventions gouvernementales spécifiques aux entreprises pour le développement de technologies propres et un siège à la table des régulateurs[8], les contrebandiers environnementaux, agissent comme les bootleggers d’antan. Pendant ce temps, des millions de consommateurs, influencés par les média le plus souvent « bien-pensants »,  font  face à des factures d'électricité légèrement plus élevées (donc relativement indolores) provenant pour l‘essentiel de sources d'énergie plus anciennes tout en profitant des avantages des voitures à zéro émission et des centrales solaires améliorés.[9] En fin de compte,   contrebandiers et  baptistes se retrouvent également mécontents de la décision du président Trump : General Electric, Tesla, Google et Microsoft se sont joints aux grandes associations de protection de la nature  telles le Sierra Club, Friends of the Earth,  Natural Resources Defense Council , Environmental Defense Fund. …D'une seule voix, ils ont proclamé : "N'abandonnez pas l'accord de Paris." Les dirigeants des principales nations du monde et des pays émergents ont accueilli les demandes conjointes des Baptists/Bootleggers qui avaient pour mérite de leur décerner un brevet de moralité et des espérances de financement. Les maires des grandes villes américaines et les dirigeants de certains États ont proclamé leur engagement à faire leur devoir  pour soutenir les efforts de réduction des émissions de carbone prévus par  l'accord de Paris. Avec un soutien aussi large à l'accord de Paris de la part du classique duo Bootleggers/Baptists, qu'est-ce qui explique alors la décision de M. Trump ? « Les citoyens  qui supportent  les coûts des politiques du gouvernement ne sont  pas organisés, ils sont isolés  et, même parfois accusés d’égoïsme  sinon d’immoralité. Ils ont été oubliés. Dans le contexte actuel, les oubliés sont les mineurs, les exploitants de puits de pétrole et de gaz et les producteurs d'électricité de centrales au charbon, situés en Virginie occidentale, au Kentucky, en Pennsylvanie, en Ohio, au Wyoming et au Montana ». Trump a su leur dire  qu'ils ne seraient plus oubliés, que des temps meilleurs se profilaient à l'horizon ! On retrouve le même phénomène en France à propos de la folle politique des énergies renouvelables qui relève de la même logique (si l’on peut dire !)[10]: « La vérité est que l’industrie éolienne n’est pas du tout écologiste mais répond à une logique de profit exclusif en faveur des promoteurs éoliens par des montages financiers couverts par la politique écologique des États. » (Fabien Bouglé[11] ) et Philippe Delsol de noter « Les liens entre les élus, parlementaires, ministres écolos et les promoteurs éoliens sont fréquents. Cosa Nostra serait même lourdement impliquée dans nombre de projets financés par l’Union européenne. Là où il y a de l’argent public et des affaires, les profiteurs sont toujours à l’affût. C’est ce qu’on peut appeler le socialisme de connivence » Contrepoints, 21 octobre 2019) Bien entendu, ce principe de collusion des adversaires explique aussi la poursuite du trafic  de drogue malgré (ou à cause ?) un demi-siècle de répression. Il est évident que toute légalisation porterait atteinte à de nombreux acteurs qu’il serait  difficile…et même imprudent de désigner. Ceci peut concerner de très nombreuses réglementations, dont les normes environnementales[12].

La complicité des pouvoirs publics

A ce point nous avons observé les alliances de fait et paradoxales entre les grands groupes industriels et les grandes associations « vertes ». Mais les pouvoirs publics sont aussi acteurs voire complices. Résumons la situation :
  • Le mouvement associatif mobilise les inquiétudes légitimes des citoyens en mettant en évidence les multiples atteintes à l’environnement par les entreprises et les technologies. Pour rendre publiques leur position les associations se présentent comme défenseur de la morale opposé aux vices de l’avidité du capitalisme. La médiatisation oblige à financer des campagnes coûteuses faisant appel à l’émotion (tel l’image de l’ours blanc condamné à mourir de faim sur un îlot de glace fondante).
  • Les entreprises réagissent par des campagnes de « greenwashing », pas vraiment convaincantes mais aussi en répondant positivement aux demandes discrètes de financement (direct ou indirect) des associations de plus en plus nombreuses et importantes et donc avides de fonds.
  • Les associations font pression sur les pouvoirs publics pour édicter des réglementations et des normes de plus en plus sévères augmentant  à terme les profits par réduction de la concurrence des nouveaux entrants et l’augmentation des prix de vente …Bref un monopole… le rêve de tous les entrepreneurs.
  • L’écologisme militant combiné au grand capital devenant une cause nationale voire mondiale oblige tous les partis politiques à épouser les thèses y compris les plus folles, sous peine d’échec électoral. La puissance publique s’attache alors à renforcer l’écologisme et donc son expression en termes d’écologie politique en les finançant et/ou leur accordant des postes bien rémunérés au sein de la bureaucratie écologique.
  • Résultats L’ensemble de la société à savoir pouvoirs public, entreprises et monde associatif est soumis à une nouvelle religion, souvent intolérante et aboutissant   à l’appauvrissement de l’État et des entreprises seules productrices de valeur. L’objectif  de la décroissance pourrait dès lors connaître un début de mise en œuvre tout comme l’idéologie communiste dont on connaît la faillite à terme au prix de millions de victime après avoir promis le paradis sur terre. Pour faire face la mobilisation intellectuelle et politique est la meilleure sinon la seule assurance contre la « collapsologie ». 

Conclusion

La décision de Trump suggère que nous pourrions être au début d'un nouveau chapitre de la saga environnementale : la coalition de fait Bootleggers/Baptists fonctionne  pour soutenir des réglementations  environnementales coûteuses pour les pouvoirs publics sans tenir compte de leur efficacité réelle, y compris  de leurs impacts sur l’environnement. Bien entendu, la politique vise souvent à rechercher le pouvoir et des avantages pour certains groupes sociaux et économiques … sinon à quoi serviraient les lobbyistes ? Mais en matière de politique environnementale, l’opinion et notamment les « Verts » de toutes tendances pensent que les réglementations correspondent aux objectifs et que  législateurs et  fonctionnaires qui les mettent en œuvre agissent conformément aux objectifs. Or, en fait, trop souvent elles sont mises au service d’intérêts particuliers. En France l’extrême centralisation et l’idéologie favorisent la coalition contre nature des écolos et du grand capital, dont on ne pourra sortir que par un retournement de l’opinion et/ou l’impossibilité pour la puissance publique  de faire face financièrement.  La réalisation de l’effondrement prôné par la nouvelle secte des « collapsologues » et de l’impératif de la décroissance est peu probable[13]. Reste à imaginer une nouvelle politique environnementale réaliste, efficace, indépendante des grandes entreprises et de l’extrémisme  écolo-bobo-médiatique. Vaste programme, qui devrait d’abord répondre  à cette récente remarque [14]:« Les liens incestueux entre oligarchie financière mondiale, ONG environnementales, lobby des renouvelables, avocats malins, mériteraient une couverture médiatique [15]digne de ce nom en posant les vraies questions : qui tire les ficelles, qui s’enrichit via le capitalisme vert débridé, existe-t-il des conflits d’intérêts entre business vert, ONG, partis politiques, politiciens et/ou médias ? » Dénoncer le système n’est pas un gage de réforme mais  il est pourtant  légitime de s’interroger : à qui profitent certaines réglementations environnementales ? A l’écologie militante, aux industriels, aux pouvoirs politiques, aux media ? Quels seront leurs impacts réels et/ou effets pervers éventuels sur la protection et la gestion des ressources du milieu ?

Sources

[1] International Center for Research on Environmental Issues, www.icrei.fr [2]Sous le titre général de « Droits de propriété, économie et environnent » nous avons décliné les principales  ressources environnementales : eau, déchets, agriculture, biodiversité, climat, océans… [3]Créée en 1992, l’Association Française des Entreprises pour l’Environnement, EpE, regroupe une quarantaine de grandes entreprises françaises et internationales issues de tous les secteurs de l’économie qui veulent mieux prendre en compte l’environnement dans leurs décisions stratégiques et dans leur gestion courante. [4] WBCSD  représente 200 grands groupes industriels  et 19 millions d’employés [5]A propos du financement du  récent et puissant mouvement « Extinction Rébellion » Libération(12 oct 2019) écrit « les richissimes cofondateurs de cette cagnotte, Rory Kennedy, fille de l’ancien sénateur Robert Kennedy, et Aileen Getty, une des héritières de l’empire pétrolier américain du même nom, font tache sur l’indépendance de ces actions citoyennes pour l’environnement ». Ou encore le Daily Mail cité par Atlantico « Si la plupart des milliers de militants qui ont participé aux actions du mouvement à Londres sont des bénévoles, les organisateurs sont, eux, payés, Parmi les activistes figure la petite-fille d'une baronne, proche de Boris Johnson, qui a demandé à être rémunérée après avoir réduit son activité de relations publiques pour se concentrer sur les manifestations. » [6]Bruce Yandle est consultant, écrivain et conférencier en économie politique. Il est professeur distingué d'économie à l'Université George Mason et participe à la série de conférences du Centre Mercatus au Capitole. Yandle est doyen émérite du College of Business & Behavioral Science de l'Université  Clemson et Senior Fellow émérite au  Property & Environment Research Center (PERC) à Bozeman, MT. Il est intervenu à trois reprises  à nos conférences Internationales d’ Aix en Provence [7]Les Baptistes du sud des Etats Unis sont partisans d’une stricte abstinence. C’est en 1983 que Yandle présenta sa théorie dans la Revue « Regulation » sous le titre de « Bootleggers and Baptists, the education of a regulatory economist »  L’ensemble de l’expérience a fait l’objet d’un ouvrage de de 227 p. « Bootleggers and baptists : how economic forces and moral persuasion interact to shape regulatory politics » CATO Institute, 2014. Son dernier article  a été publié dans PERC REPORTS Summer 2017,4 p. « When industries love regulation, Trump’s Paris exit and bootleggers-Baptists disarray » auquel  le présent article a largement emprunté. Si les recherches de Bruce Yandle ont contribué à modifier la science politique aux Etats Unis cela n’a pas été le cas en France. Nous avons trouvé une seule référence : un court article du Québécois David Descôteaux dans Contrepoints (14 octobre 2011).  [8] Ce que l’on appelle « crony capitalism » ou « capitalisme de connivence »est particulièrement  pratiqué en France en raison de la consanguinité entre hauts fonctionnaires et dirigeants de groupes industriels. [9]Il est également possible, bien sûr, que les nouvelles technologies puissent apporter des résultats plus propres ainsi qu'une énergie à moindre coût, offrant des avantages aux consommateurs ainsi qu'un confort à ceux qui se préoccupent de la durabilité et du bien-être à long terme de la planète. [10] [11]« La trace noire de la transition écologique  » Les Éditions du Rocher , 2019 [12] Par exemple on peut penser que les réglementations changeantes concernant l’assainissement non collectif sont encouragées  par les « Baptists »  désireux d’améliorer la qualité des rejets mais aussi par le puissant lobby des multiples « Bootleggers ». Un simple et fréquent changement des normes est en train de ruiner des  centaines  milliers de propriétaires de maisons individuelles. Cela fait penser à   La parabole de la vitre cassée,  premier chapitre de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, essai écrit par Frédéric Bastiat en 1850. Son objet est de combattre le sophisme économique du même nom, selon lequel le bris d'une vitre se ferait non selement au profit du vitrier mais aussi au bénéfice de l'intérêt général, en ce qu'il favorise la croissance et l'emploi….du Keynes avant la lettre ! [13] Déjà à la fin des années soixante le Club de Rome et Ivan Illitch( in « La convivialité ») avaient soutenu ces thèses. Il y a fort à parier que leur réactivation sous la bannière de la collapsologie connaitra le même sort : l’enthousiasme, l’indifférence puis l’oubli. Raison de plus pour proposer d’autres solutions plus efficaces  pour gérer la planète et  garantir la liberté… ce qui rejoint la devise de l’ICREI « L’imagination juridique et économique au service de l’environnement » [14]Michel Gay et Jean-Luc Salanave.In Contrepoints18, octobre 2019 [15] Sous le titre « Milliardaires et médiavores » le Canard enchaîné du 18/10/19 remarque « Une grande partie des médias français est contrôlée par une dizaine de milliardaires…Désormais, parmi les quotidiens  et hebdos quatre seulement n’appartiennent  pas à des groupes industriels ou financiers »

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